Policier Marseille : agression à la cité Castellane

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Policier Marseille – À Marseille, deux policiers interpellent un dealer dans le quartier de La Castellane. Ils sont alors violemment pris à partie par des individus. Du coup, les assaillants blessent les agents. Puis, ils réussissent à libérer leur complice temporairement. Mais après une rapide intervention des forces de l’ordre, le dealer a finalement été rattrapé et incarcéré. Cet incident illustre les difficultés rencontrées par la police dans certains quartiers sensibles, où les interventions peuvent rapidement dégénérer en altercations violentes. Une scène digne que pourrait signer le réalisateur Mathieu Kassovitz du film « La haine », dont l’histoire relate les tensions et la violence constante entre jeunes de cité et police.

« Le quotidien des policiers, face aux trafiquants, est un combat constant pour la sécurité, souvent sous la menace de violence. »

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Policier Marseille : que sait-on sur ce passage à tabac contre la police BST ?

Policier Marseille : une interpellation qui vire au drame

Policier Marseille – Les policiers procèdent à l’interpellation d’un individu soupçonné de trafic de drogue lorsqu’en fin de compte, ils sont interrompus. Pour commencer, plusieurs des jeunes de la cité se mettent d’une part à s’interposer. D’autre part, les protagonistes des quartiers nord de Marseille tente de soutenir le dealer en empêchant son arrestation. Ce qui provoque ensuite une altercation qui dégénère. Ce que nous voyons d’ailleurs dans toutes les vidéos en diffusion sur le Web à ce sujet !

Des policiers violemment brutalisés

Pour protéger leur complice, les jeunes passent à tabac les forces de l’ordre. Autrement dit, ils déferlent leur violence sur eux. Les policiers de la BST sont finalement roués de coup. De surcroît, ils restent impuissants face à leur infériorité numérique ! Sur les images de la vidéo, on voit d’abord les deux policiers au sol puisqu’ils tentent de maîtriser le dealer. En somme, ils l’interpellent au pied d’un bâtiment du quartier. Les agresseurs les violente tout à coup d’une manière virulente, en bref sans aucun scrupule.

Ce que l’on sait !

Quand les faits surviennent, ces deux policiers de la BST effectuent alors une mission de surveillance des points de deal à Marseille . Cette fois-ci, sans le soutien habituel des CRS. L’intervention vise à intensifier les opérations anti-drogue, qu’on surnomme « opérations place nette ». Cette stratégie, accentuée depuis six mois avec l’arrivée de la CRS 81, est inaugurée en mars dernier à la Castellane, en présence d’Emmanuel Macron et de ses ministres.

Ce que l’on ne sait pas…

La courte vidéo disponible sur YouTube et autres plateformes ne reflète pas toute la violence de cet événement survenu à la cité Castellane à Marseille. En effet, selon une source policière, les policiers de la Brigade Spécialisées de terrain BST reçoivent bien plus que des coups. Les agents subissent également des jets de projectiles, notamment des pierres et des bouteilles. Ce contexte rend l’intervention particulièrement difficile. Cela illustre d’autant plus et de toute évidence, les défis auxquels se confrontent chaque jour les forces de l’ordre dans ces zones sensibles.

Policier Marseille : les médias s’en mêlent et donne la parole

Une vidéo montre deux policiers en train d’interpeller un homme soupçonné de trafic de drogue à la cité de La Castellane, dans les quartiers Nord de Marseille. Celle-ci circule ce mercredi 16 octobre 2024 sur les réseaux sociaux. Dans les images fournies par TF1 INFO, les agents se font prendre à partie par plusieurs individus. En fait, tout simplement par prétexte de « réussir leur coup ». En d’autres termes, ils réussissent enfin temporairement à libérer leur complice.

Mais en définitive, la police le retrouve et l’incarcère le 21 octobre. Dès lors, le parquet de Marseille ouvre une enquête pour coups et blessures ! En raison de cela, le porte parole du syndicat Unité SGP-POLICE FO Eddy Sid s’exprime face à BFM TV : « L’équipage n’a eu de cesse que de protéger son intégrité physique. Aujourd’hui, on a des fonctionnaires de police qui sont en arrêt et blessés« . Ce qui ne change, certes cela, aux violences répétitives sur les dépositaires de l’ordre public !

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